Entamer un bilan de compétence n’est pas toujours facile. C’est souvent après une longue réflexion et diverses situations génératrices de mal-être, que la décision intervient.
Un conflit intérieur est né et nous ressentons le besoin de lui apporter une réponse.
Commence alors la recherche d’un organisme susceptible de nous accompagner. Le choix est vaste sur le marché. Faut-il encore se décider. Parfois, le bouche à oreille fonctionne, parfois c’est avec notre seule énergie et intuition que nous engageons une relation avec la structure retenue.
Commence ensuite le questionnement…
Qui suis-je, quelles sont mes compétences, mes expériences, mon savoir-faire, mon savoir être, mes qualités, mes défauts, mes obis, mes passions.
Suis-je marié(e), ai-je des enfants, quel est mon temps disponible, ma capacité à me financer une formation, et bien d’autres informations indispensables, à cette question délicate : qu’est-ce que je souhaite vraiment, pour mon avenir professionnel ?
Oui, mais voilà… Toutes ces questions tournent en boucle dans notre tête, sans toujours trouver les réponses adaptées.
Apprendre à se connaître, identifier nos besoins, nos attentes, s’écouter, tout en négociant avec nos contraintes familiales, sociales, professionnelles et financières, ce n’est jamais facile. C’est bien pour cela, que nous avons repoussé si longtemps l’échéance. Et se confronter à ce dilemme reste bien complexe.
Faire des choix ce n’est pas donner à tout le monde. Se remettre en question, non plus. Être conscient de son potentiel, de ses capacités quand les conditionnements éducatifs s’en mêlent s’est un vrai caste tête. Sans oublier nos angoisses, nos peurs… de l’échec, de notre insécurité financière, du qu'en-dira-t-on, du jugement, et j’en passe…
Notre confiance en nous est mise à rude épreuve, et il est parfois plus facile de renoncer à ce parcours tumultueux, ou bien de l’entreprendre sans grande conviction. Ainsi si j’échoue, je trouverai de bonnes raisons pour me convaincre qu’un bilan de compétences, ce n’est pas très utile.
Bien sûr, je n’ai pas encore parlé du stress que peux générer toutes ces remises en question, ni des troubles du sommeil qui peuvent survenir quand la machine à penser est sous pression. Trop de questionnements et d’incertitudes entrainent parfois, insomnies, irritabilité et bouffées d’angoisse.
Nos relations avec notre entourage se détériorent et la culpabilité peut s’installer.
A quoi bon ? Baisser les bras semble tellement plus simple !
Mais au-delà du suivi professionnel et bienveillant que nous recevons auprès de l’organisme de bilan de compétences, nous pouvons mettre toutes les chances de notre côté, avec un accompagnement sophrologique. Celui-ci nous permettra d’identifier nos blocages, tout en renforçant nos ressources naturelles à nous adapter.
Nous pourrons aussi apprendre à mieux gérer notre stress, nos émotions désagréables et booster notre confiance en nous. Notre parcours sera ainsi facilité et nous mettrons toutes les chances de notre côté pour réussir cette transition.
Intégrer la sophrologie dans ce parcours important pour nous et notre avenir professionnel semble opportun, pour retrouver confiance et sérénité.
C’est aussi un bon moyen de se motiver et d’avancer. Qu’en pensez-vous ?
Pour toutes informations sur les séances de sophrologie en individuel ou en groupe :
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